Il existe de nombreux mécanismes d’apprentissage spécifiques à une tâche ou à un problème, tant chez les animaux que chez les êtres humains, même si certains d’entre eux peuvent avoir des points communs.
Cet article examine les différents types de processus d’apprentissage dans un contexte socioprofessionnel.
Les processus d’apprentissage associatifs : comprendre les connexions
Les processus d’apprentissage associatifs relient des événements entre eux. Le conditionnement classique en est la meilleure illustration, reposant sur l’association d’un stimulus inconditionnel (comme la perception immédiate d’un désordre matériel ou technique) et d’un stimulus conditionnel qui nécessite un apprentissage (par exemple, les procédures pour rétablir l'ordre). Un exemple célèbre est le chien de Pavlov, qui salive en réponse au son d'une cloche après avoir appris à associer ce son à la vue de la nourriture.
Les processus d’apprentissage non associatifs : réagir aux stimuli répétés
Les processus d’apprentissage non associatifs décrivent les changements de comportement en réponse à un seul type de stimulus au fil du temps.
Deux formes principales sont identifiées :
L’habituation : qui consiste à ignorer un stimulus répétitif, comme le bruit de fond d’un bureau ou la sonnerie d’un téléphone.
La sensibilisation : qui renforce les réponses comportementales face à un stimulus imprévu, comme une panne de courant ou d’ascenseur.
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